Comment se sont passées tes années à l’ISE ?
Dans l’ensemble elles se sont bien passées. A partir de la deuxième année, les cours se faisaient à distance. Mais malgré le Covid et les cours à distance, les profs faisaient de leur mieux pour nous aider à avancer.
Quelles sont les matières que tu préférais ?
J’aimais beaucoup les cours qui portaient sur le fonctionnement des écosystèmes, comme : l’écologie, l’écotoxicologie et la pédologie.
Dans quelle structure as-tu effectué ton stage ?
A l’Institut Supérieur de l’Environnement, nous effectuons un stage à la fin de chaque année de Bachelor. Je n’ai malheureusement pas pu faire de stage en première année à cause du Covid. J’ai ensuite réalisé mon premier stage dans un bureau d’études nommé SCOP Saluterre, un bureau d’études qui travaille sur des projets de paysages nourriciers. J’ai effectué mon dernier stage au sein de l’association ELLSA, une ferme urbaine en permaculture, je suis intéressée par l’agriculture durable.
Quelles étaient tes missions ?
J’ai appris comment pratiquer une agriculture écologique, je faisais beaucoup d’ateliers de terrain avec des missions comme l’entretien des cultures, le désherbage, la plantation, l’accueil du public, des entreprises en team building et des écoles avec des parcours pédagogiques. C’était génial, j’ai beaucoup aimé ce que j’ai fait.
Que dirais-tu à des étudiants qui souhaiteraient faire cette formation ?
Je leur dirais que c’est une bonne formation pour avoir une vision complète du contexte environnemental. Contrairement à la fac, le suivi est plus facile, on est bien accompagnés, on est moins nombreux dans les salles et c’est plus agréable.