Depuis quand étudies-tu à l’ISE ?

« J’ai intégré l’Institut Supérieur de l’Environnement en septembre 2018 en première année de Bachelor en environnement. »

Pourquoi as-tu choisi de faire tes études à l’ISE ?

« J’ai repris mes études presque 10 ans après les avoir arrêtées, alors je n’avais d’une certaine manière pas de temps à perdre.
Je souhaitais trouver une école dans le secteur de la protection de l’environnement, secteur qui correspond à mon éthique personnelle et qui débouche sur des métiers d’avenir. Je cherchais une école proposant des stages chaque année ainsi qu’un Mastère en alternance. Cette école devait également se situer en région parisienne afin que je puisse suivre ma compagne qui est professeur des écoles dans les Hauts-de-Seine (92).
L’Institut Supérieur de l’Environnement remplissait toutes les cases, et avait en plus de cela de très bons retours. J’ai eu l’occasion de discuter avec des élèves et des professeurs lors du Salon étudiant des métiers de l’avenir à Levallois-Perret, ce qui m’a définitivement convaincu de candidater. »

Que retiens-tu de tes années là-bas ?

« Je pense retenir en premier lieu les rencontres que j’ai pu y faire. Des étudiants venant de tant d’horizons différents, partageant un objectif commun et pourtant ayant des points de vue parfois très différents mais complémentaires. Des professeurs passionnés et passionnants particulièrement investis au sein de l’école.
Je retiendrais également les expériences vécues lors des stages en entreprises qui auront été particulièrement formatrices. »

Que dirais-tu à des étudiants qui aimeraient l’intégrer ?

« La société actuelle a besoin de changements urgents, et ce dans de multiples domaines. S’inscrire dans ces changements sociétaux est non seulement nécessaire, mais également une opportunité à saisir. Parmi ces changements, la cause environnementale me semble d’un point de vue personnel la plus urgente car elle englobe tout le reste. L’ISE peut vous préparer à devenir acteur de ce « nouveau monde » vous apportant des compétences variées allant de l’écologie au droit environnemental, en passant par les sciences fondamentales. »

Qu’as-tu préféré ? qu’as-tu, au contraire, moins aimé ?

« J’ai particulièrement apprécié le fait que cette école reste à taille humaine et ainsi ne pas être noyé dans la masse en tant qu’étudiant. En effet, il est plaisant de ne pas être seulement un numéro pour l’administration de l’école ainsi que pour le corps enseignant.
Plus concrètement, j’ai également beaucoup aimé les cours de droit et d’écologie, qui sont des matières concrètes qui collent à l’actualité, et qui ont souvent su changer ma façon de percevoir les choses. De plus ces matières sont assurées par des professeurs passionnés, qui réussissent facilement à transmettre leur savoir.
A l’inverse, j’ai eu plus de mal dans les matières de sciences fondamentales, mon talon d’Achille depuis toujours, mais malgré cela, j’y ai quand même appris des choses intéressantes applicables à la vie de tous les jours. »

pierre bordier

Quels sont tes projets pour la suite ?

« Il m’est difficile de m’arrêter sur un projet précis, je suis du genre à me laisser un maximum de portes ouvertes et à saisir les opportunités qui se présentent à moi.
Toutefois, une expérience à l’étranger dans le domaine de l’environnement pourrait clairement être un projet personnel à réaliser puisque cela rassemblerait deux de mes passions, l’environnement et le voyage. »

Où te vois-tu dans 10 ans ?

« A nouveau, difficile de me projeter dans 10 ans, mais disons que j’espère avoir trouvé un poste au sein duquel je commence à pouvoir changer les choses,… mais également avoir fini de rembourser mon prêt étudiant ! »

Quel est le métier de tes rêves ?

« Je n’ai pas particulièrement de métier de rêve, par contre j’ai vraiment pour souhait de trouver un poste au sein duquel je puisse m’épanouir personnellement et où je puisse réellement avoir un impact sur les choses qui m’entourent.
Toutefois, les métiers de chef de projet dans le domaine de l’écoconstruction ou bien responsable développement durable dans une entreprise sont deux pistes qui pourraient m’intéresser. »

Y a t-il une entreprise que tu rêverais d’intégrer après ?

« … ma propre entreprise ! »