ISE Projet tuteuré des Bachelor 1 en 2019

Nous vous proposons de lire le témoignage d’Emma Bierry, Ashira Haime, Lucile Talamoni et Julie Vignals, étudiantes en Bachelor 1, à l’Institut Supérieur de l’Environnement. Elles nous présentent leur projet tuteuré, encadré par Loïc Hardouin, docteur en écologie et enseignant à l’ISE.

ISE : Quel est votre thème ?

Emma Bierry : Nous travaillons sur un projet de création d’un escape game dans une démarche de transition écologique, avec quelques contraintes imposées par notre commanditaire.

ISE : Pouvez-vous nous parler du contexte ?

Julie Vignals : Notre commanditaire était Monsieur ANZIEU, membre du collectif « Les Colibris de Versailles ». Pour les conditions, il fallait que nous créions de A à Z un escape game avec des matériaux recyclables et de récupération. Il ne fallait pas dépasser 1m3 afin que le rendu soit mobile et adaptable. C’est-à-dire qu’il soit possible d’y jouer à l’intérieur comme à l’extérieur. Le temps maximal de jeu est fixé à une heure. De plus, nous étions également tenues d’aborder une démarche environnementale, en évoquant l’urgence écologique mais plutôt de manière positive, donc interdiction de dramatiser.

ISE : Comment avez-vous choisi votre sujet ?

Lucile Talamoni : C’est le sujet qui nous a choisies. Nous n’avons pas été très rapides lors de la distribution des sujets. Du coup, les autres étudiants ont pris les autres thèmes et comme c’est le dernier qui restait, nous l’avons pris. Finalement il nous convient très bien car toutes les quatre, on voulait quelque chose de ludique et créatif.

ISE : Comment avez-vous constitué votre groupe ?

Julie Vignals : Par affinité. Depuis le début de l’année, nous nous asseyons presque tout le temps ensemble. Nous nous sommes très vite connues et nous entendons toutes très bien. Ensuite, chacune d’entre nous manifeste un engouement pour le thème que nous avons abordé.

ISE : Comment vous êtes-vous réparti les tâches de travail ?

Ashira Haime : Nous avons discuté et avons attribué à chaque membre du groupe le poste sur lequel elle avait plus d’aisance. Emma s’est occupée de la communication. Lucile avait pour rôle d’être la secrétaire. Quant à moi, j’assurais le rétroplanning et Julie, tenait le carnet de bord. Théoriquement, c’est parce qu’on devait définir des rôles et qu’il fallait rythmer le projet mais à chaque fois qu’il y avait une action à mener, on se partageait les tâches pour réaliser un travail. C’était plutôt collaboratif, on s’est entraidé tout le long du projet.

ISE : Qui vous accompagne dans la réalisation de votre projet ?

Emma Bierry : C’est Monsieur Hardouin. Il nous guide sur la façon de s’organiser et de structurer le projet.  Depuis le début, il accompagne tous les groupes de projets en organisant des réunions dans le but de contextualiser le travail. Lors d’une de ces réunions il nous a tous fait passer pour discuter avec les membres et s’assurer qu’il n’y avait pas des tensions de groupe. Et s’il y en avait, il fallait voir comment y apporter une solution. De plus, en cours, il passe dans chaque groupe pour savoir comment cela évolue. Franchement il nous a été d’une grande aide surtout en ce qui concerne le rétroplanning.

ISE : Que retenez-vous de ce projet ?

Lucile Talamoni : Nous avons énormément aimé travailler sur ce sujet et avons retenu plein de bonnes choses. Travailler sur ce thème nous a beaucoup apporté en termes de connaissances sur la Transition Écologique, la communication et la relation sociale. C’était une bonne expérience pour savoir comment organiser et gérer un projet en groupe.

Vu que c’était notre premier projet réalisé en autonomie, nous étions plutôt fières de ce que nous avons fait. Cela nous a fait nous sentir autonomes, utiles et responsables.

Emma Bierry, Ashira Haime, Lucile Talamoni, Julie Vignals.

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